Geografie: sport, travel, wellness.

Design and photography. A photo book commissioned by the young start up Wellness-Week.com and printed in limited edition. Made after several trips to Essaouira, Morocco, the book celebrates the cartography designed by travels, landscapes, matters. An installation at Hotel de Gallifet in Paris featuring wide format pictures set during the party for the official launch of the Wellness-Week brand.

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I’m attached to the word GEOGRAFIE as I am to the expectation of a promise, as I am to the suspension offered by displacement, as I am to the pleasure of signs, as I am to walking without a destination, as I am to geometric shapes, transparencies, interweaving, back and forth, ink and gazes. Wellness-Week, with its project of journeys and bodies and movements and self-knowledge, conjured up in my head these images of constellation, cartography, navigation, network, reticulated, plant and vegetation, paths, sand, stones, materials, in short. I can’t stop thinking about maps, written worlds, abstractions that synthesise vast ideas. Geographies, in fact. I invite you to read this book like an atlas in a map library, but also like a notebook of journeys, deviations, verifications, possibilities, beginnings, approaches and distances. But also like a collection of (post)cards, and finally like a notebook for checking materials and states: where have I been? What have I seen? We all want to write plans, projects, maps, connect dots, walk paths, follow lines, direct our gaze, interpret shapes. It’s not unusual for a written route to lead us elsewhere. Geographies always contain stories.

Giovanni AmbrosioJe suis attaché au mot GEOGRAFIE comme à l’attente d’une promesse, comme à la suspension offerte par le déplacement, comme au plaisir des signes, comme à la marche sans destination, comme aux formes géométriques, aux transparences, aux imbrications, aux aller-retours, à l’encre et aux regards. Wellness-Week, avec son projet de voyages et de corps et de mouvements et de connaissance de soi m’a fait jaillir en tête ces images de constellation, de cartographie, de navigation, de réseau, de réticulé, de végétal et de végétation, de parcours, de sable, de pierres, de matières, finalement. Je n’arrête pas de penser aux cartes, aux mondes écrits, aux abstractions qui synthétisent des idées vastes. Aux géographies, justement. Je vous invite à lire ce livre comme un atlas dans une cartothèque, mais aussi comme un carnet de voyages, de déviations, de vérifications, de possibilités, de débuts, d’approches et d’éloignements. Mais aussi comme à une collection de cartes (postales) et enfin comme un cahier de vérification de matières et d’états : où j’ai été ? Qu’est-ce que j’ai vu ? Nous voulons tous écrire des plans, des projets, des cartes, relier des points, parcourir des chemins, suivre des lignes, orienter nos regards, interpréter des formes. il n’est pas rare qu’une route écrite nous mène ailleurs. Les géographies contiennent toujours des histoires.

Giovanni Ambrosio