K. revue flyers, newsletters, cards, posters
K. is an electronic publication born from the collaboration between the CECILLE laboratory and the Department of Philosophy of the University of Messina. Each issue presents a monographic dossier whose contributions and essays are evaluated anonymously by a double external expertise. Directed by Luca Salza.
Who is K.? A letter for another, which says almost nothing. A reference to Kafka, perhaps. A way of defending oneself, like the Prague writer, by dissipating one’s identity in anonymity, a way of responding with absence. A way of coping with the catastrophe, by writing, by continuing to write. In a diary entry, Kafka writes: “He who, while alive, does not come to terms with life, needs one hand to ward off a little of the despair that causes him his fate, but with the other hand he can write what he sees under the rubble. The K. review wants to make this reflection on the catastrophe (which lasts a long time) a collective expression of writing, thought and friendship, through several disciplines (notably philosophy, politics, aesthetics, literature and the arts) and several geographical spaces, capable of putting the dominant discourse to the test of doubt.
K. est une publication électronique qui naît de la collaboration entre le laboratoire CECILLE et le département de Philosophie de l’Université de Messine. Chaque numéro présente un dossier monographique dont les contributions et les essais sont évalués de manière anonyme par une double expertise extérieure.
Qui est K. ? Une lettre pour une autre, qui ne dit presque rien. Une référence à Kafka peut-être. Façon de se défendre, comme l’écrivain pragois, en dissipant son identité dans l’anonymat, façon de répondre par l’absence. Façon de faire face à la catastrophe, en écrivant, en continuant à écrire. Dans une note de son journal, Kafka écrit : « Celui qui, vivant, ne vient pas à bout de la vie, a besoin d’une main pour écarter un peu le désespoir qui lui cause son destin, mais de l’autre main, il peut écrire ce qu’il voit sous les décombres ». La revue K. veut faire de cette réflexion sur la catastrophe (qui dure longtemps) une expression collective, d’écriture, de pensée, d’amitié, à travers plusieurs disciplines (notamment la philosophie, la politique, l’esthétique, les littératures et les arts) et plusieurs espaces géographiques, capable de mettre à l’épreuve du doute l’ordre du discours dominant.